,Différentes formes d’empathie pour une communion d’âmes 🙂
Cette vidéo fait suite à la précédente « comment être pleinement humain ? » et aujourd’hui on va approfondir un petit peu, ce qu’est l’empathie.
Sans plus tarder, on commence avec une définition de l’empathie.
Qu’est-ce que l’empathie ?
Les psychologues ont été influencés par Carl Rogers (psychologue humaniste).
Carl Rogers définissait l’empathie de cette façon : « être empathique consiste à percevoir avec justesse la carte de référence interne de son interlocuteur ainsi que les raisonnements et émotions qui en résultent ».
C’est très intéressant, parce que ça traite à la fois des émotions, des raisonnements. On ne parle pas des concordances physiques mais nous allons y venir.
Vous rappelez vous enfants, lorsque vous marchiez au même pas qu’une autre personne ? Ça vous donnait une impression interne : « ah, on marche du même pas, donc, on est sur la même longueur d’onde, on s’aime parce qu’on marche au même pas ». C’est très drôle, parce qu’une amie m’a dit exactement ça il y a très peu de temps, et ça m’a rappelé des souvenir d’enfance incroyables. Vous voyez, il n’y a pas d’âge pour avoir ce critère !
Donc, le premier critère est celui du corps. C’est à dire, marcher au même pas, avoir des gestes en commun, des références communes. La PNL l’utilise également en préconisant d’adopter les mêmes gestes d’une personne pour rentrer plus rapidement en communication.
Le deuxième façon d’être empathique touche l’émotionnel : ressentir les mêmes émotions que l’autre. C’est quelque chose d’extraordinaire lorsqu’on partage les mêmes émotions. Parfois, au même moment. Rire en même temps, on a l’impression d’être en communion.
Et puis, il y a l’empathie intellectuelle. Penser qu’on est aussi intelligent l’un que l’autre par exemple, est aussi une forme de communion.
Enfin, il y a l’empathie spirituelle. Être touché par la même grâce au même moment.
Mais où va nous chercher cette empathie, qu’elle soit physique, mentale, intellectuelle, émotionnelle ou spirituelle ?
Et bien, c’est une empathie qui unie au lieu de désunir. Donc regardons à quel niveau d’empathie nous sommes. De quelle façon nous somme empathiques et avec qui ? Regardons aussi nos limites. Regardons les limites que nous donnons à cette communion.
Il est possible d’être empathique dans un de ces domaines, il est possible aussi d’être handicapé du cœur. C’est à dire, non seulement, ne pas chercher cette empathie mais d’en être totalement démuni. Ce qui sera particulièrement difficile pour les personnes de l’entourage qui seront elles empathiques, souhaiteront de l’empathie et se retrouveront devant des murs. Devant ces personnes il n’y a qu’une attitude à adopter : une compassion infinie et évidement, savoir se protéger. Dans la littérature on les appelle souvent « les pervers narcissiques » mais je les appellerais plus volontiers des « handicapés du cœur ».
Pour tous ceux qui sont en chemin vers cette empathie, reconnectez la ! C’est tellement joyeux, ça nous réunit. Ça nous conserve sur ce chemin de réunification entre les êtres humains. Soyons empathiques ! Je vous embrasse.