Un petit mot sur mon parcours
- J’ai été indépendante très jeune et ma mère m’a laissé gérer ma scolarité depuis l’âge de 6 ans. Je n’ai fait mes devoirs que lorsque j’étais punie, ou obligée de les faire si un professeur s’intéressait à moi. J’étais une des dernières de la classe mais la première en récitation. Mes récitations d’ailleurs était des moments attendus même par mes ennemis ! Mon pire ennemi s’appelait Thierry mais lorsque j’étais sur l’estrade il devenait un spectateur conquis et j’avais le pouvoir de le faire rire ou pleurer. Je dois avouer que j’apprenais mes récitations avec acharnement. Je ne voulais pas décevoir mon auditoire ; et sans doute moi-même ! Avec un tel parcours scolaire, je me suis retrouvée à 19 ans sans bac (loupé du premier coup, à l’unanimité du jury avec interdiction de redoubler) et suis « montée à Paris » pour suivre des cours de théâtre.
- J’ai malheureusement envisagé les cours de théâtre comme ma scolarité, sans passion jusqu’au jour de mon premier cours de chant. La professeure m’a demandé pourquoi je n’avais jamais pensé entrer au conservatoire ? Certes, j’avais une jolie voix, qui m’avais d’ailleurs permis d’être sélectionnée par mon instituteur pour interpréter la phrase solo de Kalinka le jour de la fête des écoles, mais de là à penser entrer au conservatoire ! Non, cette idée ne m’avait jamais traversée l’esprit. J’avais pourtant, ce jour mémorable, suscité beaucoup d’émotion chez les parents d’élèves qui essayaient de me toucher affectueusement le bras, ce qui m’avait effrayé et redu méfiante envers le succès !
- Pourtant, 10 ans après mes deux amis (Quentin et Agnès) et une professeure de chant m’encourageaient à travailler et à développer mon talent. C’est ce que j’ai fait. J’ai pu vivre de ma voix au bout d’un an de conservatoire. Après 20 ans de carrière, j’ai décidé de passer mon bac, j’avais 40 ans. J’ai continué en fac et suis devenue psychologue puis coach pour vous servir mes amis ! Alors développer ses talents est ce vital ?
- Savez-vous que Bronnie Wareune, une infirmière australienne, a recueilli auprès des personnes mourantes leurs plus grands regrets, il ne s’agit pas de regrets liés aux actions mais plutôt à ce qui n’a pas été vécu :“Je regrette de ne pas avoir eu le courage de vivre ma vie comme je le voulais et pas celle que les autres voulaient pour moi”, “Je regrette d’avoir consacré trop de temps à mon travail” et “Je regrette de ne pas avoir plus exprimé mes sentiments” sont les trois premiers. Sans doute qu’exprimer votre talent n’est pas vital mais il peut répondre positivement à ces trois regrets, et vous permettre de réussir votre vie !
- Si vous aimeriez exprimer un talent mais que vous n’êtes pas encore passé à l’action, ou si vous faites partie de ceux qui ont déjà développé leurs talents mais qui rencontrent des obstacles intérieurs ou extérieurs, le coaching « développez vos talents pour une vie plus épanouie » peut vous aider.
- Développons nos talents pour nous réaliser pleinement dans cette vie !
